LIBERTÉ ONIRIQUE

Ailes, ailes, ailes, ailes,

il semble que la vie essaie de les détruire

mais ça ne fait que les rendre plus fortes et

puissantes pour le vol final.

Mangent des charognes les petits oiseaux

de vol bas, ils sont effrayés par

l'ombre qui les couvre, unis ils croient

en faire une grande afin de

briser la force des vraies ailes d'un phénix, mais

en plongée en plein vol ça se termine

avec ce qui était, une illusion, une

mirage, ce n'était rien, (ils n'étaient

rien), chaque jour ils constituent un oiseau

irréel pour se nourrir de la souffrance

étrangère mais ensuite ils se perdent dans

leur petite ombre minuscule sans se retrouver

eux-mêmes.

Vole vole vole, avec des ailes plus

grandes et fortes aux cieux marins,

aux cieux profonds de l'univers,

aux cieux avec des grands nuages et des ombres,

aux cieux avec de grands oiseaux.